• L’expérience chamanique
    du chanteur Christophe Willem

     

    Invité dans l’émission de Frédéric Lopez, La Parenthèse Inattendue, diffusée dernièrement sur France 2, le chanteur Christophe Willem a raconté sa première expérience chamanique. Un témoignage impressionnant à découvrir dans l’extrait vidéo.
     

    La comédienne Armelle, l’écrivain Eric-Emmanuel Schmitt et le chanteur Christophe Willem étaient réunis le temps d’une courte escapade à la campagne avec Frédéric Lopez dans son émission La Parenthèse inattendue, diffusée chaque mercredi soir à 22h30 sur France 2.
    Pendant 24 heures, les invités et l’animateur vivent dans une maison truffée d'objets, d'images et de surprises propices aux confidences sur leurs parcours personnels et professionnels. Une bonne façon de découvrir les petits secrets des personnalités.
    Et quoi de mieux que la préparation d'un bon repas pour se confier ? Christophe Willem, gagnant de Nouvelle Star et chanteur à succès, raconte à Frédéric Lopez sa première expérience chamanique. C'est un chaman brésilien qui lui a expliqué que tous ses problèmes relationnels venaient de son adolescence et surtout, de ses années collège. Une expérience incroyable que nous raconte Christophe Willem en détails dans cet extrait.

    La vidéo ici Première.fr


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    Préhistoire et psychotropes

    Les hommes préhistoriques étaient-ils sous psychotropes lorsqu’ils décoraient leurs grottes ? C’est l’étonnante thèse soutenue par des chercheurs de l’Université de Tokyo.

    Grilles, damiers, tunnels, cônes, spirales… Un peu partout dans le monde, les symboles utilisés dans les peintures préhistoriques se ressemblent étrangement.

    Jusqu’à présent, les scientifiques estimaient que ces motifs récurrents traduisaient la façon dont le cerveau des hommes du Paléolithique traitait l’image. Trois chercheurs de l’Université de Tokyo jettent un pavé dans la mare : selon eux, ces similitudes seraient plutôt liées à l’usage généralisé de plantes hallucinogènes, lors des cérémonies au cours desquelles nos lointains ancêtres décoraient leurs grottes.

    A l’appui de leur hypothèse : l’étude de rituels perdurant actuellement dans certaines cultures, qui associent création artistique et prise de substances, ainsi que les recherches menées par d’autres scientifiques, attestant que sous psychotropes, le cerveau humain « voit » des formes géométriques, ressemblant à la structure du cerveau, très semblables à celles figurant dans l’art pariétal.

    Ce que leur point de vue n’explique pas, c’est pourquoi les symboles perçus en état modifié de conscience, puis peints sur les parois, étaient unanimement considérés comme chargés de sens, dans des communautés géographiquement séparées, sans contact les unes avec les autres…

    Suite de l'article sur Maxsciences.com


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