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Par runemily le 8 Novembre 2012 à 16:35
Bonjour à tous,
Arrivé au milieu de ma vie, J'ai cherché à savoir "À quoi ça sert la vie ?"
J'ai cherché dans les sports et les voyages,
j'ai cherché dans la politique et les performances,
j'ai cherché dans les religions et les livres,
j'ai cherché dans le travail acharné et le luxe,
j'ai cherché de toutes les façons,
j'ai même cherché des façons de chercher.
Un beau jour, j'ai trouvé sans chercher.
J'avais cherché trop loin, à l'extérieur, dans les autres.
J'avais cherché l'impossible pour m'apercevoir qu'il n'y avait rien à trouver.
Ce que je cherchais, on le possède tous à l'intérieur de soi.
Maintenant que je sais que la vie est faite de petits et de grands moments présents,
maintenant que je sais qu'il faut se détacher pour aimer plus fort,
maintenant que je sais que le passé ne m'apporte rien,
maintenant que je sais que le futur me fait parfois souffrir d'angoisse et d'insécurité,
maintenant que je sais qu'on n'a pas besoin de voyager dans l'astral pour être heureux sur cette terre,
maintenant que je sais que la bonté et la simplicité sont essentielles
et que, pour rendre les autres heureux, je dois l'être d'abord,
maintenant que je sais qu'on peut aider les autres surtout par l'exemple et le rayonnement,
maintenant que je sais que l'acceptation est un gage de bonheur,
et que la nature est mon meilleur "Maître",
maintenant que je sais que la réponse vient du même endroit que la question,
maintenant que je sais que je vis,
alors, maintenant, je vis tout simplement...
(Auteur inconnu)Belle journée à vous
4 commentaires -
Par runemily le 21 Octobre 2012 à 17:08
Bonjour à tous,
Un jour, un vieux professeur de l'École nationale d'administration
publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur La
planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de
dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours
constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation. Le
vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière ".
Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que
l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un,
lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
sortit un immense pot Mason d'un gallon (pot de verre de plus de 4
litres) qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit
environ une douzaine de cailloux a peu près gros comme des balles de
tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot.
Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y
ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves
et leur demanda :
"Est-ce que ce pot est plein?".
Tous répondirent : "Oui".
Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment?".
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient
rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros
cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier
s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda
: "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves
commençaient à comprendre son manège.
L'un d'eux répondît: "Probablement pas!".
"Bien!" répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une
chaudière de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le
sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda : "Est-ce que ce pot est plein?".
Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves
répondirent :
"Non!".
"Bien!" répondît le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet
d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le
vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle
grande vérité nous démontre cette expérience? "
Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours,
répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda
est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter
plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".
"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que
nous démontre cette expérience est la suivante: si on ne met pas les
gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire
entrer tous ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant
conscience de l'évidence de ces propos.
Le vieux prof leur dit alors :"Quels sont les gros cailloux dans
votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"
"Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX
en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir...sa vie. Si
on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira
sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux
à consacrer aux éléments importants de sa vie.
Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question :
"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire
et lentement quitta la salle.Auteur inconnu
Belle journée à vous
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Par runemily le 7 Septembre 2012 à 19:15
Bonjour à tous,
Cette petite histoire m'a fait sourire, je vous partage ce joli brin de sagesse.
C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert...
À un moment donné, ils se disputèrent et l'un d'eux gifla l'autre.
Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable :
"Aujourd’hui, mon meilleur ami m’a donné une gifle."
Ils continuèrent à marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été giflé manqua de se noyer et son ami le sauva.
Quand il se fut repris, il écrivit sur une pierre :
"Aujourd’hui, mon meilleur ami m’a sauvé la vie."
Celui qui avait donné la gifle et avait sauvé son ami lui demanda :
Quand je t'ai blessé tu as écrit sur le sable, et maintenant tu écris sur la pierre.
Pourquoi ?
L'autre ami répondit :
Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer.
"Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre."
Auteur inconnu
Belle journée à vous
5 commentaires -
Par runemily le 20 Août 2012 à 00:59
Bonjour à tous,
A voir et a partager sans modération .
Belle journée à vous
4 commentaires -
Par runemily le 18 Août 2012 à 18:06
Bonjour à tous,Keny Arkana est une rappeuse Marseillaise d’origine argentine, elle est très loin de l’image véhiculée de la bimbo, ses textes respirent ses convictions humaines et spirituelles.
C’est une croyante sans religion et ne prône aucun dogme, c’est une femme d’action qui milite pour la cause altermondialiste, elle soutient également la désobéissance civile, c’est une lutte non violente qui implique de s’interposer contre une injustice établie. Le but de cette action est de faire entendre leurs revendications pour donner lieu à un débat social, politique et démocratique.
Ce bout de femme a vocalement un débit d’enfer, une force, une énergie qui incendie les coeurs les plus réceptifs.
C’est une belle étoile qui éclaire de sincérité et de clairvoyance, ses paroles sont riches, elle inspire à construire le nouveau monde de demain.
Pour les personnes qui verront dans ces textes un discours simpliste qui veut mettre le feu aux banlieues car certes la révolte est présente mais non violente. Je réponds qu’il faut lire entre les lignes (clin d'oeil à la chanson), car le message est simplement un appel à l’espoir et à la paix.
Belle journée à vous
Paroles entre les lignes, clouée au sol
Les ailes brûlées clouées au sol et la tête vers le ciel,
Vers la splendeur de l'éternel ailleurs
Cherchant l'étoile qui fait tourner la roue
Loin de ce quadrillage où même l'air ne peut être libre
Comme l'art
Comme la pureté d'un geste
La profondeur d'une pensée illimitée quand l'opinion est HS
Sans mâcher mes mots, voir largesse, bargesse,
La frontière si fine entre folie et sagesse
Réflexion pesante
Cheminement infini en quête de l'archétype mais mon âme est souffrante
Mémoire passée, qui voudrait voir mon espoir cassé
Où est la berge, où est la perche, maintenant j'en ai assez
Je me noie, j'ai perdu ma barque
Quand j'ai vu celui qui la conduisait n'était autre que mon ennemi
Mais comme quand la nuit tombe, l'océan et le ciel ne forment qu'un
Alors j'ai pu voir l'espace infini
Ô liberté !
Ma chère amie, ta présence est abstraite
Vu que c'est dans ma tête que j'ai appris à te connaître
Ô liberté !
Imbibe mon encre et ne quitte plus mes pensées
Bulle d'oxygène dans un monde limité où la vérité se cache en nous
Clairvoyance, intuition, mais avons-nous idée de tout ce qui se cache en nous
C'est rires contre larmes
L'ego contre l'âme
Et à plus haute échelle, je dirais l'illuminati contre l'homme
Epoque cruelle dénuée de sens
Dur de voir clair derrière les mascarades et les buées de sang
Je me sens comme perdu au coeur d'une immense machine
Qui n'en a jamais eu et qui nous dénature
Mauvais pressentiment quand je pense au futur
Les yeux ouverts, l'horreur tente de me les crever
Mais le plus dur reste à venir le jour où ça sera trop tard
Où la surveillance sera absolue et nos prénoms seront des codes barres
Tout va de plus en plus vite car pour eux le temps c'est de l'argent
Alors on oublie de vivre, c'est navrant
En nous se crée un vide, que rien ne comblera
Car l'ombre s'est emparé de notre monde
Mais on ne croit que ce qu'on voit ou ce qu'on veut bien nous laisser voir
Donc ouais on est aveugles
Ça me fait mal au coeur, mais regarde, même nos âmes buggent
Au fond de nous, ces tourments
Car dehors c'est tournant
Soumis à notre sort, on oublie que la vie est mouvement
Que la force issue d'un idéal ou d'une volonté
Transcende tous les schémas établis
Que les barrières sont dans nos crânes
Qu'on est seuls à pouvoir les virer, se libérer en laissant notre coeur s'émouvoir
Trop portés sur l'extérieur
Et à force de vouloir être comme tout le monde
Peu sont quelqu'un en fin de compte
On devient ce qu'on nous montre
Au lieu d'être ce qu'on est pourtant ce mode de vie fait mal mais on se laisse cogner
On subit un monde qui nous dépasse et qui nous replie sur nous-mêmes en nous laissant des traces
Alors je ferme les yeux pour ressentir la lueur
Pouvoir faire le vide en moi afin d'être réceptive au bonheur
Car changer le monde commence par se changer soi-même
Changer le monde commence par se changer soi-même
Changer le monde commence par se changer soi-même
Car changer le monde commence par se changer soi-même
Changer le monde commence par se changer soi-même
Changer le monde commence par se changer soi-même
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Par runemily le 18 Juin 2012 à 00:17
"Définissez-moi d'abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois"
" Le hasard c'est Dieu qui se promène incognito"
"N'essayez pas de devenir un homme qui a du succès. Essayez de devenir un homme qui a de la valeur."
Albert Einstein...
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Par runemily le 18 Juin 2012 à 00:06
Cette vidéo à créer beaucoup de réactions sur le net car personne ne connait l'origine exacte de cette petite histoire. Ce qui m'importe avant tout c'est le message qui est délivré, il parait que la vérité sort toujours de la bouche des enfants...A méditer.
Je vous souhaite une belle journée
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